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Mes engagements

Au quotidien, j’entends des peurs, des incertitudes, des interrogations. En général, cela commence par :

  • comment je vais bien pouvoir  faire pour …
  • je n’y arriverai jamais, je ne l’oublierai jamais.
  • Mais si je fais cela, qu’est-ce qu’il ou elle va me faire ?
  • il ou elle menace les enfants, je suis bloqué(e) ?
  • etc ….

C’est le cœur de mon métier, me direz-vous ? Oui, bien sûr, c’est vraiment ce qui m’anime. Mais une séance de coaching, un accompagnement a un coût et les gens s’effacent avec énormément de dignité. Alors, j’ai commencé par créer un groupe privé facebook, où je réponds à toutes les interrogations gratuitement.

Puis, j’ai publié une bonne partie de ma méthode pour la rendre accessible au plus grand nombre, avec la volonté de délivrer le plus d’outils possible pour que chacun puisse trouver sa solution.

J'ai été prise à mon propre piège

Une semaine, sur le groupe privé, je ne reçois pas une demande d’aide mais 4 ! Avec des situations plus violentes les unes que les autres. Je suis derrière mon ordinateur, je suis censée apporter un soutien par écrit, amener à, ne serait-ce, chercher des premières pistes, ….

Mais là ? Je n’ai pas le début d’une piste ! Moi, la chercheuse de solution, de ressources, je n’ai rien à dire. Très vite, je me tourne vers mon réseau professionnel, qui est essentiellement américain et je trouve des débuts de piste. Mais comme nous sommes loin du compte.

Pour info, nous sommes encore bien avant les dénonciations publiques, “les mises en lumière” des féminicides, et de tous les “#….” ! Alors, je cherche. Je trouve quelques associations mais essentiellement parisiennes. Je me forme, je lis et constate toujours la terreur, les risques que prennent ces femmes et leurs enfants. Je reste à leur côté pour décanter et se préparer, mais j’entends impuissante le danger, les risques qu’elles encourent.

Alors, je prends un engagement avec moi même

"STOP, arrête de lire et agis. Fais marcher ta créativité, tourne toi vers les autres et tu verras bien ce qui en ressort."

Sandrine