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Décembre, le mois silencieux où tout se prépare : pourquoi janvier est le mois des séparations

Une silhouette seule regardant des lumières de Noël à travers une vitre embuée
Décembre. Le mois des lumières, des repas en famille, des retrouvailles.
Et, silencieusement, le mois des décisions intérieures.
Alors que tout semble figé sous les guirlandes, une part de vous s’agite. Une fatigue plus dense. Une distance qui grandit. Des mots qu’on ne prononce plus. Et cette question qui revient comme une marée intérieure : « est-ce que je peux continuer comme ça ? »
Ce que personne ne dit, c’est que la plupart des séparations ne naissent pas en janvier. Elles se préparent en décembre. En sourdine. Dans le non-dit. Sous les “joyeuses fêtes” et les repas de famille à flux tendu.
Décembre est un mois de tension retenue. Les enfants comptent les jours. Les adultes font semblant. On suspend la tempête, comme si cela pouvait suffire à la dissoudre. On fait “bonne figure”, jusqu’à l’épuisement.
Et pour beaucoup, l’année se termine sur un sentiment d’étrangeté : ils ne savent plus très bien s’ils jouent un rôle… ou s’ils l’ont toujours joué.

Pourquoi janvier est le mois des séparations

Dès le 2 janvier, les chiffres explosent : les avocats, les thérapeutes, les coachs voient leur activité se multiplier. La journée international du divorce sera le 6 janvier en 2026. Le sujet revient en boucle sur les moteurs de recherche. Les premières démarches sont lancées. Et tout semble soudain irréversible.
Mais la bascule a eu lieu avant.
C’est en décembre que tout s’est cristallisé : une dispute de trop, une solitude palpable, un réveillon trop creux. C’est en décembre que l’on commence à “voir clair”, à se dire qu’on ne veut pas revivre ça une année de plus.
Pourquoi ? Parce que l’accumulation mentale et émotionnelle atteint un seuil critique. Parce que le décalage entre ce que l’on vit et ce que l’on montre devient insupportable. Parce que le corps, parfois, lâche le signal d’alarme : fatigue, insomnie, douleurs.

Un mois crucial pour poser des repères

Décembre est donc un mois stratégique. Pas pour agir dans l’urgence, mais pour comprendre. Clarifier. Se poser les bonnes questions. Et surtout, ne pas confondre émotion et décision.
Il y a mille manières de se tromper en janvier, si décembre n’a pas été éclairé.
Un divorce ou une séparation, ce n’est pas une crise à traverser à l’aveugle. C’est un tournant identitaire, logistique, parental, émotionnel. Et chaque étape mérite d’être pensée. En conscience. En sécurité.
C’est tout le travail que je mène en séance : transformer ce moment de bascule en un avenir choisi et serein.
Ne pas décider sous le coup de la saturation. Ne pas faire porter aux enfants le poids d’un flou. Ne pas se lancer dans une procédure sans projet. Ne pas attendre que janvier décide pour vous.

Vous êtes peut-être en décembre, intérieurement.

Vous sentez que quelque chose doit bouger. Que la façade ne suffit plus. Que votre équilibre vacille. Vous cherchez des réponses sans oser formuler les vraies questions.
Ce n’est pas un hasard si vous êtes ici.
Et si c’était maintenant, avant janvier, que vous commenciez à reprendre la main ? Parce qu’un divorce, une séparation réussis sont un divorce, une séparation organisée.
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