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La procédure de divorce : une étape importante mais pas la seule

Divorce : Au-delà de la procédure, la reconstruction émotionnelle

Quand un couple décide de se séparer, la première pensée va souvent à la procédure judiciaire . Quel type de divorce choisir ? Quel avocat prendre ? Comment organiser la garde des enfants ? On pense alors que tout se joue dans le choix de la procédure. C’est une étape importante, mais ce n’est pas la seule. Croire que tout se règlera dans le cadre juridique, c’est ignorer les étapes essentielles qu’implique une séparation. Et c’est souvent là que tout dérape.

Parce qu’un divorce ne se résume jamais à un dossier classé par le juge. C’est une rupture émotionnelle , une transition identitaire et une réorganisation complète de la vie familiale . Et si ces dimensions ne sont pas prises en compte, la procédure, même parfaitement exécutée, peut laisser des séquelles durables et profondes .

1. Pourquoi la procédure ne suffit pas à tout résoudre ?

La procédure règle les aspects juridiques , mais elle ne prend pas en compte l’humain derrière la séparation. Les émotions, les non-dits, les rancœurs… tout ce que le juge ne voit pas, mais qui conditionnera pourtant la suite.

1.1. La procédure s’occupe des droits… pas des émotions

Un jugement de divorce fixe le partage des biens, la garde des enfants et le montant des pensions.
Mais aucun juge ne pourra apaiser les ressentiments, guérir les blessures émotionnelles ou donner un sens à la séparation. 
Les décisions prises sous le coup de la colère, de la vengeance ou de la culpabilité ne sont jamais les plus justes… ni les plus durables.

1.2. La procédure ne règle pas la communication

Signer un accord de garde alternée ne signifie pas savoir communiquer efficacement avec son ex-conjoint. A ce sujet suivre l’intervention de Sandrine Mercy sur divorce, séparation et enfants.
Sans dialogue constructif, chaque décision devient un conflit potentiel … tout peut devenir une source de tensions et laisser des traces sur le long terme. Suivre l’atelier pratique d’ Anaïs De wolf sur la communication non violente.

La procédure ne donne pas les outils pour apaiser les conflits ni pour coordonner les décisions parentales après le divorce. Pensez à utiliser la médiation comme un outil d’apaisement et suivre l‘intervention de Brigitte Ploix-Gaydonsur ce sujet.

1.3. La procédure exige un projet à défendre et à valider

Le juge n’impose pas une solution, il valide un projet .
L’avocat cocrée ce projet, il le défend. Pour mieux le comprendre, suivre l’intervention de Maître Sonia Koutchouk sur comment collaborer avec son avocat pour réussir

C’est aux parents de construire un projet de séparation qui respecte les besoins de chacun et surtout ceux des enfants.
Ce projet doit être clair, équilibré et durable , pour éviter les modifications incessantes et les conflits répétitifs.
En l’absence de projet solide, le juge tranchera de manière arbitraire, sans tenir compte des spécificités familiales.

La procédure est donc une étape importante, mais elle ne concerne qu’un cadre légal. Pour que la séparation se passe bien, il faut la compléter par d’autres étapes essentielles.

2. Les pièges de la focalisation sur la procédure

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La focalisation sur la procédure entraîne souvent des erreurs stratégiques qui coûtent cher, tant sur le plan émotionnel que relationnel.

2.1. Croire que « gagner » la procédure règle tout

Beaucoup de parents se concentrent sur la victoire juridique : obtenir la garde principale, limiter le montant de la pension alimentaire (contribution alimentaire), ne pas verser de prestation compensatoire (pension alimentaire), gagner le droit de rester dans le domicile familial… Sur ces sujets essentiels, veuillez suivre les interventions de Maîtres Sophie Bonfils Emmanuelle Bizien, anandi delvaux et Stéphanie DEGRAVE sur la pension – contribution alimentaire et la prestation compensatoire – pension alimentaire

Cette vision binaire du divorce (gagnant/perdant) entraîne souvent des conflits interminables……et laisse des séquelles émotionnelles durables sur les enfants, pris au milieu de la bataille.

Si vous êtes enlisé dans la procédure, participez aux ateliers où Maîtres Sophie Bonfils, Bizien, Emmanuelle GLIKSON et Stéphanie DEGRAVE répondront à toutes vos questions et GRATUITEMENT.

2.2. Utiliser la procédure comme arme de vengeance

La procédure est parfois utilisée pour punir l’autre : en retardant le jugement, en demandant des modifications incessantes des modalités de garde, en utilisant les enfants comme moyen de pression.

Ce comportement alimente la rancœur, intensifie le conflit et rend la coparentalité presque impossible à mettre en place.

2.3. Ignorer l’évolution des vos besoins et de ceux des enfants

La procédure règle un cadre fixe à un instant T… alors que les besoins des enfants évoluent: les jeunes enfants ont besoin de stabilité émotionnelle ; les adolescents recherchent plus d’indépendance.

Les situations évoluent avec le temps (déménagement, nouveau conjoint, changement d’école). Vous avez besoin de l’anticiper au plus tôt pour pouvoir l’intégrer dans le cadre de l’accord.

Sans flexibilité, le cadre juridique devient une prison émotionnelle pour les enfants… et pour les parents.

Pour en savoir plus sur les pièges du divorce, veuillez consulter cet article : https://divorce-solutions.fr/divorce-les-6-plus-grosses-erreurs/

3. Guérir de la relation : une étape essentielle souvent négligée

La procédure officialise la séparation, mais elle ne met pas fin à la relation émotionnelle, à l’attachement. On ne guérit pas d’une relation avec un jugement de divorce. Au contraire (qu’il soit avantageux ou pas) !

3.1. Accepter la fin de la relation

  • La première étape est de faire le deuil de la relation.
  • C’est une étape émotionnellement difficile , car elle implique d’accepter que l’histoire n’a pas eu la fin espérée.

3.2. Se libérer des émotions négatives

  • La colère, la tristesse, la culpabilité… toutes ces émotions sont normales .
  • Mais pour avancer, il faut les exprimer et les apaiser, sans les laisser dicter ses choix.

3.3. Se défaire du lien de dépendance

  • Un divorce ne rompt pas immédiatement le lien de dépendance émotionnelle.
  • Guérir de la relation , c’est reprendre son indépendance et reprendre émotionnellement le contrôle de sa vie .

4. Se reconstruire : reprendre le contrôle de sa vie

Après avoir guéri de la relation, il faut reconstruire son identité en dehors du couple. C’est la phase la plus longue et la plus difficile… … d’autant plus lorsqu’on la traverse seul.

  • Redéfinir son identité personnelle
  • Reprendre le contrôle de sa vie professionnelle
  • Se projeter dans un avenir positif

5. Pour toutes ces raisons, j'ai créé pour vous les #JDS

J’ai créé les Journées du Divorce et de la Séparation pour aider les hommes et les femmes à voir au-delà de la procédure . Pour apprendre à guérir de la relation , à reprendre le contrôle de sa vie , à communiquer efficacement , et à organiser le quotidien de manière équilibrée et durable. Parce qu’au-delà de la procédure, c’est l’humain qui doit rester au centre des décisions.

Et pour pouvoir y arriver, j’ai invité 9 des meilleures avocats en France et en Belgique, qui adhèrent à cette réussite du divorce et de la séparation. Venez les écouter et surtout leur poser vos questions GRATUITEMENT.

Pour aller au-delà de la procédure et reprendre plus rapidement le contrôle de votre vie : participez aux JDS.

👉 Inscrivez-vous aux Journées du Divorce et de la Séparation pour apprendre à gérer la séparation au-delà de la procédure… et protéger vos enfants des conflits inutiles.