Dès le 2 janvier, les chiffres explosent : les avocats, les thérapeutes, les coachs voient leur activité se multiplier. La journée international du divorce sera le 6 janvier en 2026. Le sujet revient en boucle sur les moteurs de recherche. Les premières démarches sont lancées. Et tout semble soudain irréversible.
Mais la bascule a eu lieu avant.
C’est en décembre que tout s’est cristallisé : une dispute de trop, une solitude palpable, un réveillon trop creux. C’est en décembre que l’on commence à “voir clair”, à se dire qu’on ne veut pas revivre ça une année de plus.
Pourquoi ? Parce que l’accumulation mentale et émotionnelle atteint un seuil critique. Parce que le décalage entre ce que l’on vit et ce que l’on montre devient insupportable. Parce que le corps, parfois, lâche le signal d’alarme : fatigue, insomnie, douleurs.